Les pratiques partagées de sports de masse reflètent l’universalité des droits aux plaisirs de l’activité motrice individuelle et collective de l’Homme, des droits à la passion et aux jeux de société dans le respect des droits fondamentaux universels. Ces pratiques se multiplient et se diversifient.
L’Atonball est opportun pour le développement humain des compétences sportives multiples, des attitudes convergentes, de développement des aptitudes d’auto-coordination, en se basant sur des références singulières, réalistes et inspirées du plaisir démultiplié du jeu. Il révèle une aire nouvelle de jeu, la possibilité multiple de l’Homme de poursuivre plusieurs objectifs à la fois, de viser un niveau précis d’un camp d’objectif, tel une dextérité de soldat, de travailler en synergie, à la chaîne, de s’auto discipliner dans un groupe, de penser principalement au collectif et de travailler malgré les spécialisations des instants pour atteindre un but commun en tout temps, d’éviter la dépossession par l’adversaire du pouvoir d’annuler et ainsi de protéger son pouvoir d’action, de coordonner les actions dans le temps propice à la multiplication des résultats et surtout d’éviter de sombrer dans le résultat négatif pour défaut du minimum des qualités requises. L’Atonball, c’est la transposition sportive et ludique des dynamiques et des contre-dynamismes de la réalité sociale et sociétale. C’est le théâtre sportif de l’existence et de la combativité humaine. L’Atonball, c’est l’émanation des valeurs humaines et professionnelles telles que l’égalité, le respect réciproque, l’équité, la justice, la performance, la planification, la gestion axée sur des objectifs, la réussite. C’est le repère bariolé des victoires par les trois balles de couleurs distinctes de jeu, des filets tricolores, des trois zones de l’aire de jeu, des trois points d’exécution d’une pénalité, des trois temps de jeu et bien d’autres attraits aussi visibles et que diffus. L’Atonball est le jeu de l’homo trois fois sapiens.